Dans le monde mystérieux, pour beaucoup d’entre nous, de la virtualité, rien ne se perd jamais vraiment…
C’est à la fois très effrayant et très rassurant.
Ce matin, ce fut très rassurant…
Je l’ai écrit, suite à un gros souci technique, j’ai récemment perdu une part très importante de mon travail visuel.
Mais, parfois, la virtualité, à la façon dont la mer rapporte les corps, vous rapporte quelque chose de ce que vous aviez perdu.
Et ce matin, l’océan internet m’a rapporté – je ne vais pas entrer dans les détails techniques du pourquoi et comment, d’autant que moi-même je peine à identifier la magie à l’œuvre – quelques images portées disparues.
Parmi elles, « Blue Dusk » qui date de l’an dernier et qui m’avait valu un joli succès d’estime là où je l’avais présentée.
Ce fut, tout à l’heure, comme le retour de l’enfant prodigue…
